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VILLAGE MARIE DOMINIQUE KOUMASSI 

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RAVIVONS LE FEU DE LE LA SOLIDARITE

FETE DE LA RECONNAISSANCE PROVINCIALE FEVRIER 2008 
 
Récital 
 

 
 
Introduction : Lettre de Marie Dominique 
 
 
Première partie : La solidarité dans la joie 
 
Scène 1 : La vie ordinaire au village (Différentes activités) : une couturière, un cordonnier, une coiffeuse, le marché (commerçants et acheteurs etc.) 
 
Un griot : Chers villageois, demain c’est la fête de la récolte de riz, tout le monde (enfants, jeunes, adultes, hommes, femmes) est invité à aller au champ communautaire, pour la récolte. 
 
Scène II : Le lever du jour : le coq chante, les hommes avec les faucilles vont pour la récolte. Pendant que les hommes récoltent en chantant et en criant de joie au rythme du tam-tam, les enfants ramassent les gerbes pour en faire des tas sur l’aire de battage, les jeunes filles apportent à boire aux moissonneurs. 
 
Vers le milieu du jour, les femmes arrivent avec le repas sur la tête ; les hommes crient de plus belle. Elles déposent la nourriture, encouragent les moissonneurs par leur cri de joie, essuyant leurs dos en signe de félicitation et en soulevant leur bras en l’air. 
 
Arrive le moment du partage, les hommes à part, les femmes à part et les enfants aussi à part. 
 
Après le repas, un moment de repos puis ils reprennent le travail. 
A 16 heures, le champ est fini et tout le monde retourne au village avec les récoltes puis commencent les préparatifs de la fête. 
Les femmes se joignent aux autres pour continuer la cuisine. 
Avec des palmiers, les hommes décorent la place du village où aura lieu la fête. L’ambiance est vraiment festive. 
La fête commence par les danses à 20 heures, puis le discours du chef de village qui remercie chacun pour son effort de solidarité, les invite à la maîtrise de soi, au calme. Vient enfin le moment du repas fraternel qu’ils partagent dans la joie et la fête. 
Après le repas, ils passent au rite de la circonstance (en versant de l’eau par exemple en signe d’entente et de paix). 
 
Mime du refrain et du premier couplet du chant pour exprimer leur action de grâce.  
 
 
HYMNE DE LA FÊTE DE LA RECONNAISSANCE 
 
REFRAIN: 
Comme Marie-Dominique ravivons le feu de l’amour 
La solidarité naît de l’amour 
La solidarité, c’est le dialogue,  
La solidarité c’est la fraternité 
La fraternité, fait grandir la personne humaine 
 
1. Aujourd’hui notre monde a besoin du feu nouveau,  
Ensemble, vivons dans la joie 
Ensemble, vivons dans la paix 
Allons à la rencontre de ceux qui ont besoin de notre solidarité 
 
 
Deuxième partie : La solidarité dans la souffrance ;  
 
 
Scène 1 : première partie du conte 
 
Logé dans la plus belle maison du village, celle du chef, avec lit de camp et moustiquaire, j'aurais dû me reposer tout à mon aise. Cependant. Je n'ai guère dormi, car toute la nuit, dans la pièce voisine, une femme pleure son enfant mourant Si bien que quelques hommes sont allés en brousse chercher des médicaments susceptibles de sauver l’enfant. Les femmes sont venues soutenir la maman de l’enfant. A l’arrivée des hommes, les vieilles préparent les feuilles et les écorces pour laver et faire boire l’enfant ; l’enfant commence à bien respirer après quelques instants, la joie s’installe sur le visage des gens. 
 
Chant : mimer le deuxième couplet autour de l’enfant. 
 
HYMNE DE LA FÊTE DE LA RECONNAISSANCE 
 
REFRAIN: 
Comme Marie-Dominique ravivons le feu de l’amour 
La solidarité naît de l’amour 
La solidarité, c’est le dialogue,  
La solidarité c’est la fraternité 
La fraternité, fait grandir la personne humaine 
 
2. Dans notre monde assoiffé d’amour,  
L’individualisme, l’injustice, la corruption,  
La recherche du pouvoir, la dépravation des mœurs. 
Prenne place, Soyons le flambeau de la solidarité. 
 
 
Troisième partie : Feu nouveau  
 
Introduction : 
 
Plusieurs mots ont touché notre province : les conflits, les guerres entraînant des divisions des familles, des habitants, la communauté éducative… plusieurs parents abandonnent leur enfants à eux même. Certains de ces enfants sont sans repères où vivent des situations difficiles. La province a besoin du feu nouveau ; ensemble allumons le feu de la solidarité. 
La froideur commence à s’installer dans la communauté éducative. Les jeunes n’ont plus d’orientation. Les enfants sont livrés à eux-mêmes, les parents n’ont plus le temps pour s’occuper d’eux. Avec le feu nouveau, la joie et l'entraide reviendront au village, suivant la coutume. 
 
Scène I 
 
La communauté éducative : parents, sœurs, professeurs, jardinier, cuisinier, gardien, etc. arrivent des quatre coins. Tous ont en main un bois sec calciné à un bout.  
Ils se disposent en un grand cercle, et placent leurs bâtons à terre, les bouts brûlés posés les uns sur les autres, en rond, formant ainsi comme un soleil rayonnant. Quatre filles représentant chacune un des pays de la province viendra ajouter son bois à ceux disposés par les moniteurs. 
La provinciale aussi est venue. Sous sa robe traditionnelle, elle retient un gros paquet sur son ventre. Elle prend la parole, salue longuement tout le monde. Puis, au nom de Dieu et des ancêtres (Don Bosco et Marie Dominique), elle les remercie de tant aimer le bonheur dans la province, l'entraide. Ensuite, elle sort la brassée de fibres de palmiste qu'elle tenait sous son robe et la porte au milieu du soleil de bâtons. Elle répartit soigneusement les fibres sèches et huileuses sur les bouts charbonnés puis allume le feu. 
 
Chorégraphie :  
 
Chant sur la lumière mimé par les filles du foyer. 
Des pancartes ou banderoles comportant soit une lettre ou un syllabe pour former le thème de chaque partie avant de monter sur scène (invitant le public à l’étape suivante)
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Modifié en dernier lieu le 12.02.2008
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